Le tracé des graffitis est enregistré au moment de leur écriture à la palette graphique. Chaque graffiti est ensuite « joué » (projeté en vidéo) comme s’il s’écrivait en direct.
Toute la partition visuelle de Juliette est traitée de la sorte, son journal recouvrant peu à peu l’entièreté de l’écran de face et de fond.